Depuis 1980, Carmelo de la Pinta se consacre à la gravure, alternant pastel et peinture. Le dessin pour Maitre… Goût du voyage et de l’errance chevaleresque, des visions oniriques des grands mythes Celtiques et hellénistes. Ses œuvres se font orientalistes dans la sensualité des jardins séfarades. Ses parentés artistiques se situent auprès de Botticelli, des Préraphaélites, Gustave Moreau, Odilon Redon, des maîtres de l’art nouveau.
Pour nourrir son imaginaire romanesque, il n’hésite pas à chausser ses semelles de vent, prend ses bagages, crayons, carnets et guide littéraire. Allant glaner ses émotions dans les jardins de Grenade, sur les chemins de St Jacques, sur les traces du Don Quichotte de la Manche en Castille, dans la forêt de Brocéliande, l’Inde éternelle ou l’Archipel des Philippines. Sans oublier ces moments magiques partagés parmi ses amis touaregs dans le désert nigérien.